Motor diable'ss ou tout ce que tu m'inspire...

Cyril, et ses levres, ses mains dans mon cou ,ses yeux dans les miens ,sa respiration en rythme avec la mienne,si beau, si doux,...

Tout le plaisir dont j'avais besoin, il me l'a apporté d'un coup, au point que j'en aurai pleuré.

... et j'ai pleuré

C'est cet apres midi, en allant voir Enrica, que je suis passée devant chez lui.

Son chien est venu à moi,et Cyril , qui m'avait vu approcher le suivait.

Il me demanda où j'allait.je lui répondit.

Il m'accompagna jusque chez elle , on parla durant le temps du chemin, de tout de rien, de mes problemes de cours, de mes problemes tout court.

De mes envies de libertée, de joie,mes rêves de gosses, ça faisait longtemps que je ne m'était a confiée à lui de cette maniere là.
Je me senti libre, et bien avec lui,il m'écoutait sans rien dire, et lorsque quelques chose était à dire, il me parlait de sa voix douce, et posée.

Pour ça il ressemble un peu à Jo',tout deux son calmes lorsqu'il n'y a rien à faire d'autre que d'être sérieux.
Ils sont alors adultes, et pleins de ressources psychologiques et matures...Ils sont tout deux comme j'aime voir un garçon.

Et puis, lorsque l'heure est aux rires, et aux gamineries, ce sont les premiers à faire les cons, et à plaisanter...Ils savent comment être à quel moment, et j'adore ça.

Donc on parlait.
Et on arriva devant chez Enry.
On y est resté une heure, le temps pour moi de la supplier de me laisser "dirty dancing" encore 2 semaines ,au moins, le temps que j'aprenne limite les pas de danse , de manger un bout, de rigoler tout les trois, et de se rappeller les souvenirs du college , puis on est repartis.

Dans l'ascenseur, j'ai commencé à être fatiguée, hier je m'était couchée trés tard...

Je me suis accroupis en soufflant, la tete me tournait un peu, et c'est là où j'ai senti sa chaleur devant ma tête,et que ses bras m'ont enlacés...

Il m'a fait me relever, a pris ma tete dans ses mains et m'a embrassé...

Jouez violons, sonnez trompettes, la semie retardée du college, vient de sortir avec le play boy du meme ancien college!

Toutes mes crantes on disparues.

Vous savez ces craintes que l'on ne saurait expliquer, les craintes de tout les jours, cette boule au fond du ventre que certains docteur appellent stress.
Cette boule que j'ai toujours au fond de moi, qui ne m'a jamais quitté depuis la rentrée de septembre (chaques années c'est pareille).

Là, d'un coup je me suis sentie transportée...
Un nuage, ça ne m'avait jamais fait ça, jamais, il y avait une telle tendresse qui coulée de ses levres , une telle sereinetée...

La porte s'est ouverte, puis s'est refermée, et nous, on était toujours dedans, à se laissé aller, sa main a glissé vers ma nuque, et m'a caressé les cheveux, ce que j'adore ...

Puis, je me suis dégagée, je l'ai regardé, et je n'ai pu que sourir.

Ne pas parler, ne pas briser ce moment , le laisser durer éternellement...

Jusqu'a ce que le bruit de la rue ne l'effeuille ,ce moment délissieux, jusqu'a ce que nos maisons soient devant nous, et que le moment de ce quitter soit là.

Un baisé mis joue, mis levre, et une caresse sur sa joue, et je l'ai quitté, sentant son regard me caresser jusqu'au bout de la rue.

Et là, j'ai pleuré, pleurer parceque la joie vient toujours lorsqu'on ne l'attent pas, parcequ'un baiser tel que lui, pour moi, n'était que fictif, je ne pensais pas que de tels sentiments m'envahiraient en ce moment là...

Les larmes coulaient, et mon coeur ce remplissait d'un bonheur innarable.

Le destin sait ce qu'il a a faire, il ne faut pas le brusquer.

Cyril, tu as été mon destin durant ce moment.

Tu me manques déja.